15 octobre 2007

Un chats sous la pluie

Et puis un matin, tu te réveilles avec la gueule de bois de trop.
Et puis un matin (vers 12h pas avant quand même faut pas deconner), tu te réveille en ayant une fois de plus trop gamberger.
Et la paf, pire qu’en te couchant, le moral même plus dans les chaussettes, alors ne reste que trois solutions.
- La définitive (pas trop mon truc)
- L’opération moule (rester sous sa couette en poussant de petits gémissements)
- La fausse bonne humeur.

Alors je vais faire comme d’hab, continué à sourire et avancer.
Toute manière, si je tombe personne ne me ramassera alors il va bien falloir que j’accepte cette putain d’éternelle seconde place dans la vie.

Après tout la place dans l’ombre convient bien au Prince des Chats de Gouttières.
À défaut de choisir il est hors de question que je subisse.
Vais me battre (un peu).
Reprendre le contrôle de ma vie et de mes réflexions, pas le choix.
J’avais dit que je voulais redevenir comme avant, c’est mort, on ne peut pas oublier.
Rien à faire la mémoire travaille contre nous.
J’ai beau essayer, pas de solution non dramatique.
Le plus sage ; ne pas agir ; faire le gros dos et laisser passer l’orage.

3 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Cerysette dans ce cas dit : Coucouche panier, papates en rond ... :-)) Bon courage

6:27 PM  
Anonymous Anonyme said...

oui j'aurais pas dis mieux à pars bienvenu au club, pas de cotisation juste une tournée de temps en temps... Allez on ronronne, on ronronne encore et on s'étire... Que faire d'autre ?

10:45 PM  
Anonymous Anonyme said...

Et si tu vivais simplement, si tu arretais de te camoufler derriere tes petits airs et ton cynisme a deux balles.
Si tu l'aime dis lui, si tu l'aime pas dis lui aussi mais dis quelque chose

2:44 PM  

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