31 mai 2007

Quand le merle chante en mai, avril est fini.

C’est une histoire à propos de gens qui aiment perdre leurs temps.
Ce faisant ils me font perdre le mien, perdre le vôtre et perdent le leurs.

Le pire étant bien sûr qu’ils me font perdre le mien, car que les choses soient claires, le leur je m’en tape (autant que de ma première layette), et le vôtre je m’en balance aussi (je vous ai déjà dis que j’aime pas les gens).

C’est une histoire que je ne vous raconterai pas.
Pas la peine de hurler, de pleurer, ou de taper du pied.

Pas la peine, suis fatigué, comme un chat sur le point de crever, j’arrive toujours pas à dormir, (les cachets, ça marche pas).

Alors comme je suis de mauvaise humeur, je ne raconterai pas d’histoire ce soir.

Par contre si l’un ou l’une d’entre vous, d’Aubagne ou d’ailleurs à là solution pour que je fassent des nuits de plus de trois misérables heures j’accepterai presque de l’aimer un peu

6 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Il me plait ton blog, je le mets dans mes favoris. C'est rigolo de voir (enfin !) un trentenaire (et non unE trentenaire) raconter ses petits trucs de la vie. Et y a plein de petites choses qui me font rire... Et j'ai aussi vu que tu aimais l'Italie... Bon ben à plus alors.

3:56 PM  
Anonymous Anonyme said...

ah si tu aimes l'Italie ça change tout!!

8:33 PM  
Anonymous Anonyme said...

même combat...
si t'arrives à trouver une solution pour dormir, passes moi le tuyau. merci

moa tout simplement

7:58 AM  
Anonymous Anonyme said...

Alors comme je connais le rayon insomnies tu as en vrac:
le donormil, le bain chaud and the top l'atarax!!!
Avec ca si tu dors pas...

2:31 PM  
Blogger Céline said...

faut aimer les gens...les gens bien ;o)

11:26 PM  
Anonymous Anonyme said...

Moi les insomnies, c'est 2/4 de Lexomil. Sinon je ne ferme pas l'oeil.

2:33 PM  

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