27 janvier 2007

Un être qui s'habitue à tout, voila je pense, la meilleure définition qu'on puisse donner à l'homme . Dostoïevski


Je ne demande pas grand-chose en fait.
Deux nuits de sommeil parfait.
Sans intervention de molécules exogènes.
Ni d’alcool.
Juste deux nuits par semaine de sommeil, dormir et me reposer.
Sans ruminer des heures.
Juste rentrer direct après le boulot, une petite soupe et puis au lit pour une bonne nuit de sommeil réparatrice au doux rêve.
Juste deux nuit sans fucking insomnies ou rêves à la con qui me laisse transi de sueur froide à trois heures du mat, les yeux grand ouvert au fond de mon lit King size, le sommeil définitivement enfui.
Je ne demande pas grand-chose en fait.
Juste qu’on me foute un peu la paix, que les emmerde arrête de venir frapper à ma porte.
Un répit, un tout petit répit, une parenthèse dans ma vie pour que je puisse continuer à dire que moi ça va, ça va toujours.

Il y a une lumière au bout de chaque tunnel...(reste à prier pour que ce ne soit pas un train).



Je voudrais t’embrasser, te mordre en même temps, que tu enfonces tes ongles dans mon dos, te supplier de ne pas me quitter, te serrer tout contre moi et ne plus respirer que l’odeur de ton parfum sur ta peau.
Je voudrais pouvoir sans te mentir, te jurer que nous deux réunis on réussira à trouver que le monde est joli et que le bonheur y existe.
Je voudrais te serrer dans mes bras et te promettre que je serai toujours là, que dans mes bras, contre moi tu n’auras plus jamais peur, plus jamais mal.
Je voudrais te promettre qu’entre nous la passion ne cédera jamais la place à la grisaille au quotidien.
Mais je ne sais pas mentir.
Je voudrais me laisser aller à cette tendre inclinaison qui me pousse vers tes bras.
Je voudrais, tuer cette conscience qui me fait fuir cette hypothèse de bonheur par peur de l’impossible et du peu croyable.
Je voudrais avoir le courage encore une fois d’y croire.

20 janvier 2007

- Moi ma passion c'est les échecs.

Je deviens con... (oui, je sais à ce niveau c'est plus une perche c'est une autoroute) non mais ce que je veux dire c'est que je deviens vraiment con.
Non, le plus sérieusement du monde, je suis vraiment en train de devenir un vrai vieux con.
Un pur, un dur, un tatoué.
Le genre cynique, qui passe son temps à râler contre tout et rien, contre rien du tout et le reste.
Aigri.
Toujours de mauvaise humeur, incapable de trouver un mot gentil à dire et toujours prêt à balancer une vacherie.
Le genre à tirer sur l’ambulance, et à achever la veuve et l’orphelin (peuvent pas avoir un père et un mari comme tous le monde ceux la…).
Et le pire c’est que cette transformation n’a rien à voir avec le boulot, j’ai pas dis que je virais au beauf fasciste non j’ai juste dis que je devenais con c’est quand même pas pareil, alors essayez de suivre un peu j’ai pas envie de me répéter.
C’est vachement dur comme constat à faire en fin d’année, à l’heure du bilan d’une année qui agonise alors que d’autres se congratulent des réussites de leur année écoulée moi comme seule et unique réussite j’ai ce constat : Je suis devenu un vieux con d’à peine trente ans.
Un de ceux qui ne supportent plus la musique dans les bars parce qu’elle est trop forte, qui préfèrent regarder une merde à la télévision plutôt que de sortir avec ces amis.
Pour qui plus rien n’a d’importance et qui ne trouve plus goût à rien et surtout qui s’en tape.
Je suis devenu un vieux con et le pire dans tout ça c’est que je m’en tape complètement (enfin presque, j’avoue que ça me travaille un peu quand même).
Je vais continuer à faire le vide autour de moi, petit à petit, coupant les ponts avec un passé et des fréquentations qui ne sont plus compatibles avec ma vie d’aujourd’hui.
J’avais tort, arrive un moment où l’on est vraiment forcé de choisir son camp, personne ne peut rester éternellement à la limite, on ne peut pas traverser la vie sans se mouiller.
Je suis fatigué, surmenage neuronal on va appeler ça, j’ai perdu le contrôle sur pas mal de choses dans ma vie et j’ai l’esprit qui bat un peu la campagne.
J’en viens même à éprouver des choses et j’ai horreur de ça.
J’ai toujours dis que j’avais beaucoup de mal à gérer le facteur émotionnel de pas mal de situation et que c’est pour cela que je m’en tenais éloigné…
C’est devenu un tel merdier dans ma vie que j’en suis, en ce moment, au point ou je n’arrive plus à comprendre comment je fonctionne ni à clairement définir les émotions qui m’agitent.
C’est con de vous l’annoncer de cette manière, con et lâche, je sais, mais moi aussi j’ai le droit de l’être de temps en temps.
Force m’est de constater que je ne suis pas si fort que je croyais.
J’ai peur, je suis littéralement terrifié par tout ce qui ce passe en ce moment.
A tel point, que cela en devient une torture que de toujours faire bonne figure en société.
J’ai toujours été la pour tout le monde, je n’ai jamais failli à la tache, ne laissant jamais tombé personne, mais j’ai perdu cette distance cette froideur vis à vis du monde et des gens, cette distance envers le genre humain qui me servait de coquille.
J’ai besoin de prendre du recul, de faire le point, j’ai besoin de dormir, de ne plus veiller des heures durant en réfléchissant.
J’ai besoin d’arrêter de me demander ce que les gens attendent de moi.
Besoin de revenir en arrière, de redevenir sourd aux sentiments et à leurs lots de questions.
Quand une bataille est perdu d’avance il ni y a aucune honte à fuir

J’ai perdu cette bataille depuis longtemps.
Fuir je sais faire, des années que je pratique, alors je vais continuer.
L’autre solution serait...
Disons qu’elle ne regarde que moi mais n’est pas envisageable, j’ai raté le coche il y a longtemps, si coche il y a eu.

Vite avant que ça recommence

Mon stress recommence à me faire faire des choses stupides, dont les fameux réveils à cinq heures moins dix.
Je n'aime pas me rendre à un travail quand je sais pertinemment qu’il ne sert à rien.
Enfin ce n’est pas qu’il sert à rien mais il pourrait être fait par n’importe qui.
Et je ne suis pas n’importe qui.
Je suis même quelqu’un en fait.
Le problème étant qu’en ce moment, je ne sais pas qui.
Alors je stress.
Et donc je fais des choses stupides.
Comme les fameux réveils à cinq heures moins dix du matin.

12 janvier 2007

UNE SIMPLE QUESTION DE CHOIX... la vie quoi...


Blonde ou Brune
l'Embrasser ou Pas
Demissioner ou Pas
l'Aventure ou la Securite
Chat ou Chien
Lui dire ou se Taire
Esperer ou Etre Lucide
Alcool ou Sans Alcool
Bleu, Saignant A Point ou Bien Cuit
A Gauche ou a Droite
Mer ou Montagne
Ville ou Campagne
Force de l'Orde ou Gardien de la Paix (De Lapin...)
Tout est question de choix.
Mais pour ceux qui sont fatigué de le faire, ou pour ceux qui n'y arrivent plus.
Vous conseillez quoi???????????????????????????????????????????????????????????
Suis fatigué ce soir, en fait suis fatigué, de plus en plus souvent

11 janvier 2007

???

- C'est quoi dieu?
- Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc trés fort. Et bah dieu c'est le mec qui en a rien à foutre.
.....................

08 janvier 2007

Ras le bol (de soupe)

Ras le bol
Ras le bol
du politiquement correct
Ras le bol
Des bons sentiments
Ras le bol
Du coup de la vie et de mon salaire trrop bas
Ras le bol
Du célibat
Ras le bol
Des filles qui pleurent (et de celles qui le font pas d'ailleurs...)
Ras le bol
De ne pas avoir le temps
Ras le bol
Du 1er métro pas assez tôt qui me force à courrir pour pas être en retard

Bef déjà RAS LE BOL de 2007 vivement 2008
Année de MERDE