28 novembre 2006

POUR LES LENTS DU CERVEAU un petit texte d'une chanson que j'ai découverte recemment et qui résume très bien ma façon de penser....

JE NE T'AIME PAS

J'étais à l'hôtel Beau Rivage
Un nid douillé face a la plage
J'aurai pu croire au paradis
Tout seul au fond de se grand lit

Mais voila j'ai ouvert les yeux
Et par malheur on était deux
Je rêvais de vivre sans toi
Mais tu étais nu sous mes draps

Je ne t'aime pas
C'est plus fort que moi
J'aimerais crier que je t'aime
Je crois bien que j'ai un problème

Je ne t'aime pas
C'est plus fort que moi
Les larmes qui coulent sur tes joues
C'est pas facile à dire mais ...
Je m'en fous
Avec horreur dans ton sourire
J'ai lu l'amour et le désir
Alors en fermant les paupières
J'ai aussi éteint la lumière

Je n'ai cédé a tes caresses
Que par fatigue et par paresse
Et je n'ai connu le plaisir
Qu'en t'entendant enfin dormir

Je ne t'aime pas
C'est plus fort que moi
J'aimerai crier que je t'aime
Je crois bien que j'ai un problème

Je ne t'aime pas
C'est plus fort que moi
Les larmes qui coulent sur tes joues
C'est pas facile a dire mais ...
Je m'en fous

Tant pis si c'est un peu cruel
Tant de chansons sont consensuelles
On ne peut pas passer son temps
A n'avoir que de bons sentiments
Je ne t'aime pas

Je ne t'aime pas
C'est plus fort que moi
C'est plus fort que moi

J'aimerais crier que je t'aime
Je crois bien que j'ai un problème
Je ne t'aime pas
C'est plus fort que moi
Les larmes qui coulent sur tes joues
C'est pas facile a dire mais...
C'est pas facile a dire mais...
C'est pas facile a dire
DE L’INTERET DES P.F.C. (Plan Cul Fixe ou Petit Coup Facile…)
Y a pas à dire, on dira ce qu’on veut mais en cas de baisse de moral, de ras-le-bol général à part la cuite avec des potes je voyais pas ce qu’il pouvait y avoir de mieux…
J’avais négligé un truc, un truc énorme un piége à fille, un truc qui fait crac boum hue….
Le sexe, mais pas le sexe prise de tête, celui qui laisse un goût amer dans la bouche.
Non non non le sexe tranquille, le sexe rigolo celui avec une/un copain de baise comme on dis…
Parce que la y a pas a dire mais ça va beaucoup mieux, je vois tout le monde être malheureux autour de moi, se séparer (d’un commun accord), se faire larguer et morfler comme si on leurs avaient arracher le cœur ou un autre organe (pas forcement vital mais à voir leur tête ça doit faire super mal) ; être malheureux parce que tout(e) seul(e), en manque de câlin, de sexe ou même simplement d’une relation même bancale.
Et moi je passe tranquillement dans la vie ; alors certes je suis pas heureux mais au moins je suis pas malheureux.
Il est vrai qu’aux yeux de pas mal de monde, je passe pour un salaud parce que je couche sans avoir de sentiment, régulièrement avec la même demoiselle qui est généralement assez contente (enfin j’espère) mais qui éprouve a mon égard une tendre inclinaison que je ne partage malheureusement pas.
C’est vrai que je profite de cet état de fait sans aucun remord (ou alors très fugacement en remettant mon caleçon) et que j’en suis même plutôt content, vu que comme ça je me prends vraiment mais alors vraiment pas la tête.
Bon ok c’est pas sympa parce que la jeune femme en question attend sûrement plus que je ne pourrait ou ne voudrais jamais lui donner mais merde c’est pas ma faute.
Ou peut être que si mais au pire c’est pas grave c’est juste que je suis peut-être le salaud que certain pense.
Mais c’est pas grave, je suis comme je suis, moi au moins j’en profite et j’ai pris le parti de dire merde au monde.
Ceux qui m’aiment pas et bah qui crèvent je les aiment pas non plus.
D’ailleurs FUCK THE WORLD, FUCK LES SENTIMENTS, FUCK LA LOOSE.
Donc je disais l’intérêt des P.F.C. est très simple au moins ça détend.
Pensez-y… Ou pas.

27 novembre 2006

LA CULTURE C’EST COMME LA CONFITURE MOINS ON EN A PLUS ON L’ETALE :
Aujourd’hui cultivons nous entre ami(e)s, vous avez sans doute remarqué dans les précédents posts l’usage d’un mot qui à du heurter vos cerveaux de petit béotien.
Je veux bien sur parler du mot PARADIGME, employé en au moins deux occasion dans la phrase paradigme de Tantzor.
C’est pour cela que dans mon immense mansuétude, bien decidé à ne pas perdre le peu de lecteur qui passe ici bas que j’ai pris la décision de me fendre d’un post supplémentaire pour vous donner sa signification….

Le mot paradigme tient son origine du mot grec ancien παράδειγμα / paradeigma qui signifie « modèle » ou « exemple ». Ce mot lui-même vient de παραδεικνύναι / paradeiknunai qui signifie « démontrer ».

Paradigme épistémologique
Au début du XIXe siècle, le mot paradigme était employé comme terme épistémologique pour désigner un modèle de pensée dans des disciplines scientifiques.
Dans ce contexte, l'emploi le plus répandu se trouve chez le philosophe Thomas Kuhn qui l'utilisait pour désigner un ensemble de pratiques en science. Le terme est cependant souvent inapproprié et Kuhn lui-même préférait utiliser les termes de science exemplaire et de science normale qui lui semblaient contenir un sens philosophique plus exact. Cependant, dans son livre La structure des révolutions scientifiques, Kuhn définit un paradigme scientifique comme suit :
▪ un ensemble d'observations et de faits avérés,
▪ un ensemble de questions en relation avec le sujet qui se posent et doivent être résolues,
▪ des indications méthodologiques (comment ces questions doivent être posées),
▪ comment les résultats de la recherche scientifique doivent être interprétés.
Pour Kuhn, l'adhésion à un paradigme est un phénomène sociologique, qui implique la genèse d'une communauté de pensée, de méthodes et d'objectifs, autour d'outils communs (journaux, conférences).
D'autres termes comme concept ou système de pensée sont très proches de celui de paradigme. Ils se différencient sur des détails et pour bien comprendre leur signification, on doit prendre en considération le contexte du thème traité.
Imre Lakatos a tenté de développer le concept d'une façon dialectique sous le nom de programme de recherche.
Une définition simple dans le contexte scientifique serait: L'ensemble des règles admises et intériorisées comme « normes » par la communauté scientifique, à un moment donné de son histoire, pour délimiter et problématiser les « faits » qu'elle juge dignes d'étude.

Paradigme linguistique
En linguistique, le paradigme est l'ensemble des formes différentes que peut prendre un mot, notamment dans les langues flexionnelles. Ainsi, le paradigme du verbe être au présent de l'indicatif est : suis, es, est, sommes, êtes, sont.
On l'oppose communément à syntagme, dans le cadre de l'opposition entre axe paradigmatique et syntagmatique. Le premier axe concerne le choix des mots eux-mêmes, le second le choix de leur placement dans l'énoncé. Soit l'énoncé « Passons, passons puisque tout passe » (Guillaume Apollinaire, « Cors de chasse », Alcools) : l'énoncé « Dormons, dormons puisque tout dort » s'obtient par une modification paradigmatique tandis que « Puisque tout passe, passons, passons » est le résultat d'une modification sur l'axe syntagmatique....

Utilisations plus générales du mot
Hors de la science, le mot paradigme s'emploie le plus fréquemment dans le sens de Weltanschauung (perception du monde). Par exemple, dans les sciences sociales, le terme est employé pour décrire l'ensemble d'expériences, de croyances et de valeurs qui influencent la façon dont un individu perçoit la réalité et réagit à cette perception. Ce système de représentation lui permet de définir l'environnement, de communiquer à propos de cet environnement, voire d'essayer de le comprendre ou de le prévoir.
L'autre fonction du paradigme, est utile pour un observateur tiers (qui observe celui qui utilise ce paradigme). Cet observateur pourra faire des remarques et se faire une opinion sur la façon dont l'observé est venu à utiliser ce paradigme : nous définissons ce qui va vite ou lentement par rapport à notre propre vitesse de déplacement, l'homme qui a vécu dans la nature peut définir les objets modernes comme inutiles ou maléfiques…
Le mot a été utilisé de façon surabondante de la fin des années 1980 à la fin des années 1990 pour motiver les salariés des entreprises à accepter d'importants changements pas toujours en leur faveur. Pour cette raison, on le retrouve souvent dans les pastiches de discours managériaux (par exemple dans Dilbert).

Le paradigme comme représentation commune
Le paradigme au sens collectif est un système de représentations largement accepté dans un domaine particulier. Cela dit, les paradigmes tendent à différer selon les groupes sociaux et à changer dans le temps en fonction de l'évolution des connaissances (cas notamment des paradigmes scientifiques).
J'AIME PAS LES DIMANCHES
Mal à la tête, genre de journée où tu émerges à 17h du matin en te demandant pourquoi les hommes ont inventé l’alcool, matin chagrin donc où je constate, que j’ai toujours la crève que le hérisson qui me pousse dans les poumons est toujours la et que clairement vu l’état de mes sinus je ferai peut être aussi bien d’en racheter des neuf. Encore une fois j’ai la gueule de bois, ça commence à devenir une habitude, mais je me demande ce qui se passe en ce moment depuis mon retour pas une fois Poupounette la grande ne m’a traîné dans un bar à filles qui aiment les filles qui aiment les filles.
Que se passe t’il donc ? me direz vous ; bah j’en sais rien j’ai bien tenté de communiqué avec elle hier soir mais vu que nous étions encore passablement atteint du bulbes, notre alcoolémies devant atteindre au bas mot les 4 grammes dans chaque bras cette tentative de communication est restée lettre morte.
Perso je la comprend pas trop en ce moment ; elle est plutôt mignonne quand elle fait un effort, plutôt agréable et cultivé, en plus par expérience et de visu j’ai constaté qu’elle plaisait aux filles.
Alors comment fait elle sont compte pour toujours sélectionner la tocarde de service ????
Et à chaque fois c’est la même chanson ce cœur d’artichaut sans qui je dormirai sur un banc le matin en sortant d’une eniéme cuite tombe amoureuse de miss pétasse et ramasse son cœur à la petite cuillère un mois ou deux ou six après.
Elle est hallucinante, j’envisage de lui payer un chien d’aveugle tellement elle voit pas ce qui se passe sous son nez.
Elle arrête pas de se faire draguer, mais non ; elle rentre toute seule et râle tout le lendemain sur ces filles qui considèrent que pour faire du sexe faut être amoureuse et moi j’acquiesce à la complainte de la Poupounette automate en laissant échappé, de temps en temps, du fond du canapé ou je suis vautré, un petit gémissement du style de ceux de Harry dans « Quand Harry rencontre Sally » histoire qu’elle se sente un peu soutenue dans sa quête de l’amour avec un grand A et un avec un peu de Q quand même.
Je sais plus trop quoi penser parce que personnellement je suis encore plus largué qu’elle au vue de mes relations avec le sexe opposé qui sont quasi inexistantes en ce moment force m’est de l’avouer j’en viens à me demander si le problème ne vient pas de nous au fond.
Peut-être qu’on attend trop de chose des filles.
Peut être qu’on en n’offre pas assez.
Peut être qu’on finira dévoré par des bergers allemands au fond du canapé une bouteille vide de vodka a la main en écoutant All by myself à fond et en boucle.
Peut être que la terre est ronde.
Vais allez finir les merguez, j’ai écris toute la nuit j’ai les yeux d’un lapin russe atteint de myxomatose a force de scruter l’écran du mac il est 08h28 du lundi matin et je suis censer me lever ce matin pour réinstaller trois PC ça va être folklo…
DIMANCHE DE MERDE……….
J'aime pas le dimanche.
Surtout le dimanche soir.
Surtout quand il fait nuit trop tôt et qu’il pleut et que j’ai pas de parapluie.
(Le fait que je n’ai pas de parapluie est d’ailleurs symptomatique de l’absence de relation de couple au sein de ma petite vie. Je m’explique tout l’intérêt de cet instrument est de pouvoir se blottir dessous dans les bras de l’être aimé pendant que le ciel déverse sa colère sous forme liquide en se moquant des gens qui courent pour éviter de ce faire tremper. En effet personnellement et cet avis n’engage que moi, je trouve qu’il n’y a rien de plus con que de se promener sous un parapluie tout seul ; sauf si, il ne pleut pas, mais la c’est du snobisme et ce n’est donc pas pareil.)
J'aime pas le dimanche donc.
Surtout quand en plus il fait froid, que je traîne une gueule de bois monstrueuse et que je n’ai comme programme que celui de rentrer tout seul me mettre dans le canapé avec un restant de pizza que je ferai passer en buvant un coca sans bulle en regardant des conneries à la télé en me disant que j’ai vraiment pas envie d’aller bosser le lendemain matin (j’aime pas le lundi non plus mais je ferai un post sur les raisons qui me poussent à haïr le lundi aussi plus tard.).
Dans ces moments là j’en viens presque à ne plus aimer Paris (Ville qui chacun le sait en plus d’être la capitale du monde libre est aussi la première femme de ma vie.)
Paris la nuit, c'était mon 1er Paris. Celui que j'ai découvert à l’adolescence quand le cœur plein de rien et pareil pour la tête j’ai commencé à m’y promener, à me l’approprier, à en découvrir ses coins perdus ou le temps semble figer à jamais.
Paris m’a beaucoup aidé avec la gent féminine, à l’époque des premiers émois ; alors qu’adolescent chétif et peu sportif je passais ma vie dans les livres à rêver de dragons et de geste héroïque : en me permettant de briller, auprès de ces dames par ma connaissances encyclopédiques de ses rues et de son histoire.
Passant grâce à mon bagout légendaire (digne d’un ménestrel du temps jadis) du statut de bon copain toujours au courant de tout, ayant par on ne sait quel miracle toujours une solution et ce, quel que soit le problème, statut envié à l’époque par tous les forts en gueule sportifs des bacs à sable, (pauvres types possédant un ratio cerveau/muscle nettement en défaveur du premier.) qui ne comprenaient pas que ; quand une fille pleure sur ton épaule et qu’elle te raconte sa vie, ses problèmes et autres aspirations de midinette de 14 ans c’est pas vraiment gagner pour tenter un échanges de fluide, ne serais ce que salivaire avec elle.
Donc je disais que grâce à ma bonne vieille ville et à son Histoire (avec un grand H) chargée d’histoire (avec un petit h-là, notez la nuance.) le déclic eu lieu, et sans me transformer en Don Juan de pâque aux tilles (noël aux tisons ou un truc du genre.) j’ai eu mon petit succès durant ma scolarité, qui fut, mis à part mes relations avec le sexes dit faibles (alors ceux qui disent sexe faible connaissent pas Poupounette la Grande parce qu’elle est tout sauf faible la gamine, cœur d’artichaut et midinette dans l’âme oui mais pas faiblarde.) plus que chaotique, car comme le disait si justement mon pote le hamster : «si tu va pas en cours tu finira diplômé de l’école de la rue peut être mais c’est pas ça qui te filera de quoi acheter mes graines de sésame », alors oui je sais c’est con comme phrase mais bon un hamster ça a un tout petit cerveau faut pas trop lui en demander non plus.
Donc j’ai écumé ces rues, ruelles, passages privés et publics, trottoirs et terrains vagues, des berges de la Seine au sous-sol des carrières en passant par les toits histoire de survolé tout le bas peuple (qu’on est con quand on est jeune) et j’en ai trouvé des lieux propre aux rapprochements corporel, lieu chargé d’un tel romantisme qu’il suffisait de broder un peu sur le caractère secret de l’endroit et sur son histoire pour que l’être désiré se sente spéciale et hop le tour était joué.
Et puis j’ai grandis, enfin pas beaucoup disons que j’ai vieilli surtout, (au rythme d’une année de plus par an comme quoi le monde est pas si mal fait.) et ayant négocié d’arrache pied avec mes parents, j’ai enfin eu le droit de sortir le soir, dans la vraie nuit celle des vampires, loup garous et autres succubes (bon ok celle des paumés, pochtrons et autres barrés.) ; et là, paf, la révélation, Paris la nuit n'avait rien à voir avec la version ensoleillée que je connaissais.
Perdu mes repères, mes coins sympas et autres pièges à godiches légèrement dévergondées.
Fini les promenades le nez au vent les yeux en l’air et le sourire niais accroché comme un étendard sur mon visage à peine pubère d’adolescent boutonneux.
J’ai vite compris (suis assez fin comme garçon, je précise pour ceux qui ne me connaissent pas encore.) Que les codes n’étaient pas les mêmes ; en effet le petit passage si pittoresque et romantique à 14h de l’après-midi en plein moi de juin l’était beaucoup moins en plein hiver à une plombe du mat et avais même tendance à se transformer en passage du coupe-gorge.
Donc j’ai re-appris Paris ; me réappropriant encore une fois encore ces rues, ruelles, passages privés et publics, trottoirs et terrains vagues, des berges de la Seine au sous-sol des carrières en passant par les toits histoire de resurvolé tout le bas peuple (on est vraiment con quand on est jeune.)
Maîtrisant parfaitement les deux coté de ma ville, j’ai développé tel mister Jekill et son pote Hyde deux personnalité interchangeable (schizophrénie quand tu nous tiens.) toutes deux parfaitement adaptées au milieu et à l’heure du moment ; passant de l’une à l’autre sans problèmes.
J’aime pas les dimanches précisais je plus haut, j’aime vraiment pas les dimanches car ils m’enlèvent la magie, me spolient de mon temps de week-end en me faisant penser au lundi qui ne seront jamais au soleil comme le dis la chanson.
J’aime pas les Dimanches qui me renvoient ma solitude en pleine face sans que je l’ai demandé en faisant sortir dans les rues de MA VILLE (je rappelle aux lecteurs et aux lectrices que je suis Prince auto proclamé des chats de gouttières de cette ville, et que par conséquent je suis donc prince de Paris donc Paris est MA VILLE ; CQFD.) des couples d’amoureux tendrement enlacés ; qui trouvent rien de mieux à faire que de venir se balader en se tenant la mains dans mes rues, ruelles, passages privés et publics, trottoirs et terrains vagues, des berges de la Seine au sous-sol des carrières en passant par les toits histoire de survolé tout le bas peuple.
Font chier les amoureux à ma pourrir mes dimanches, en ce moment il fait nuit tôt, il flotte sans arrêt, et j’ai l’air d’un con sans parapluie a courir comme un demeuré sous le regard narquois des duos sous parapluies.
Je le vois bien dans leurs regards ce mélange de pitié : « Ho regarde le pauvre, il est tout seul ; on est bien nous tout deux tu trouve pas ma/mon chéri(e)» et de moquerie : «en plus t’a vu la touche qu’il a ? sans parapluie. Regarde le, trempé comme une soupe on dirait un chaton noyé… ».
J’aime pas les Dimanches pour toutes ces raisons ou alors peut être que j’aime pas les amoureux….
Non, j’aime pas les Dimanches, car c’est un jour synonyme de frigo vide, de gueule de bois et de tabac fermé ; de déprime des fêtes de fin d’année toutes les semaines, de programmes pour les vieux à la télé et de mauvaises nouvelles (quand le téléphone sonne un dimanche c’est toujours pour vous annoncer une mauvaise nouvelle. Encore un paradigme de Tantzor.).
J’aime pas les Dimanche car c’est un Dimanche que j’ai perdu la magie de l’enfance, puis celle de l’adolescence.
J’aime pas les dimanches car c’est un Dimanche que je suis rentré dans l’age adulte.
J’aime pas les Dimanche qui m’ont volé la magie de Paris, j’aime pas les Dimanche qui te font regretter de te réveiller seul sous la couette, voilà c’est dis et répéter J’aime pas les Dimanche.
DIMANCHE DE MERDE……….

22 novembre 2006

QUESTIONS DU JOUR :
Faut-il être en amour pour faire du sexe ??????
Parce que au vu des discussions que nous avons eues ces derniers temps, j’ai l’impression, et Poupounette la grande partage mon avis, que c’est la nouvelle tendance à la mode chez les filles de Paris.
D’ailleurs en parlant de tendance, l’autre qui se dégage très nettement c’est la brusque conversion de la gente féminine dans son ensemble à la secte du « Non mais tu comprend c’est de l’art c’est vachement profond, l’artiste nous transmet toute la vacuité du monde dans cette toile » (toile blanche en l’occurrence).
À croire que plus une peintre fait de la M… en branche et mieux sais, qu’un poète ne peut être génial que si ce qu’il écrit est incompréhensible, qu’un livre n’est génial que si il donne envie de se pendre a chaque page et qu’un film ne peut être culte que s’il ne se passe rien pendant trois heure, qu’il est en noir et blanc en V.O. suédoise sous titré Tchétchène.
Marre des pseudo-intello qui nous pourrissent la vie cassez vous de nos vie et de nos bars c’est pas possible, j’ai souvenir d’un temps (que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître) ou nous allions dans ces endroit chaleureux pour faire la fête et rigoler.
Maintenant tout le monde fait la gueule et je ne comprends plus rien.
Donc la question avec un grand Q (c’est le cas de le dire)
Pourquoi les gens sont-il de nouveaux si coincés ???
Assiste t-on à l’apparition d’un nouvel ordre moral ou la chasteté, la sobriété et la pudibonderie règneront en maître ???
Pourquoi la Mère Pouchet ne propose-t’elle pas de pomme à mettre dans la vodka ??
Comment se fait-Il que Poupounette se fasse t’en draguer et qu’elle rentre seule tout le temps ??
Starbuck va-t-elle coucher avec Apollo ??
Shane McCutcheon va-t-elle revenir dans les bras de Carmen Morales ??
Et si oui Carmen acceptera-t-elle après ce qui c’est passé ??

Trop de questions, trop de pression j’en peut plus vais allez finir le saucisson

21 novembre 2006

LES FILLES C’EST COMME LES PLACES DE PARKING, TOUTES LES BIENS SONT DEJA PRISES IL NE RESTE QUE CELLE POUR HANDICAPE.

C’est sur cette vérité vraie que du fond du canapé à Poupounette la grande j’attaque ce nouveau post, bah oui les enfants trois mois sans pouvoir l’ouvrir coincé que j’étais au goulag dans le trou du cul de la France profonde d’en bas a rien faire d’autre que boire des Twist à 1 euro 20, alors je peut vous dire que je vais devenir le posteur fou cette semaine désolé mais j’ai besoin de m’exprimer et comme je suis en vacances….

Que dire de mon retour sur Paris à part que ce week-end fut épique (et collegram), le mal de tête aussi heureusement que j’ai pris des photos (je recommence à me servir de l’appareil photo comme carte mémoire parce que la y à des blancs dans ma mémoire).
Donc je disais que dire, un mix de bonnes nouvelles et de mauvaises.
Commençons par les bonnes :
- Je suis de retour
- Je suis toujours beau et intelligent
- Nat à enfin un poste de psy pour faire son travail (ce qui est mieux que de faire psy au galerie lafayette)
- Le canapé de delph est toujours aussi acceuillant

Les mauvaises :
- En ce moment c’est de nouveau rupture time autour de moi
- Donc tout le monde déprime
- La blonde fait toujours la gueule perdue dans sa nouvelle vie avec ces nouveaux ami(e)s.
- Ma banquière fait la gueule, parce que je suis encore fauché
- Delph est encore célibataire (moi aussi d’ailleurs)

Et je pourrais continuer comme ça longtemps, finalement je me demande si je préférais pas le goulag à Sens au moins là-bas avec le brouillard je me rendais compte de rien.
Ici l’ambiance c’est style les sanglots long de l’automne (y a plus de saisons), tout le monde déprime, les gens n’ont qu’une envie celle de rester chez eux sous la couette mais comme ils sont tous seuls dessous ils sortent pour boire un verre et rencontrer d’autres gens tous seuls aussi sous la couette.
On pourrait penser que toutes ces solitudes misent bout à bout ca donnerais un truc bien mais non n’oublions pas le paradigme de Tantzor (c’est moi ça le tantzor en question) la nuit les gens en manque d’amour s’alcoolise et leurs tristeses s’attisent
MAMAAAAAAAAAANNNNNNNNNNN

(Alors ce texte n’et pas de moi, mais je ne résiste pas, c’est tellement vrai qu’on croirai que l’auteur connaît ma mére)

Ma mère m'a appris À APPRÉCIER UN TRAVAIL BIEN FAIT
"Si vous voulez vous tuer tous les deux, faites-le à l'extérieur - je viens tout juste de terminer de nettoyer la maison!"

Ma mère m'a appris la RELIGION
"Tu ferais mieux de faire une prière pour que je parvienne à ôter cette tâche du tapis."

Ma mère m'a appris la LOGIQUE
"Parce j'ai dit que ce serait comme ça, voilà pourquoi."

Ma mère m'a appris la PRÉVOYANCE
"Assurez-vous toujours que vous portez des sous-vêtements propres, pour le cas où vous auriez un accident."

Ma mère m'a appris l'IRONIE
"Continue à pleurer et je te donnerai quelque chose qui te fera vraiment pleurer"

Ma mère m'a appris le phénomène physique de l'OSMOSE
"Ferme ta bouche et mange ta soupe!"

Ma mère m'a appris le CONTORTIONISME
"Veux-tu bien regarder toute la saleté à l'arrière de ton cou!"

Ma mère m'a appris l'ENDURANCE
"Tu resteras assis là jusqu'à ce que tes épinards soient terminés."

Ma mère m'a appris la MÉTÉO
"On dirait bien qu'un ouragan a ravagé votre chambre."

Ma mère m'a appris l'HYPOCRISIE
"Je te l'ai bien déjà dit un million de fois: n'exagère pas!!!"

Ma mère m'a appris LE CERCLE DE LA VIE
"N'oublie pas que c'est moi qui t'ai donné la vie et c'est aussi moi qui pourrai bien te l'ôter"

Ma mère m'a appris l'ENVIE
"Il y a des millions d'enfants moins chanceux que vous dans ce monde qui n'ont pas la chance d’avoir les merveilleux parents que vous avez!"
CHAQUE MINUTE EN AMAZONIE, ON DEBOISE L'EQUIVALENT DE 60 TERRAINS DE FOOTBALL. C'EST UN PEU IDIOT, IL N'Y AURA JAMAIS ASSEZ DE JOUEURS.

Voici les 25 lois qui vont permettre aux femmes de pouvoir vivre avec les hommes :

1. Apprends ce qu'il faut faire avec le couvercle des toilettes.
Tu es une grande fille. S’il est levé, tu le descends.
Nous en avons besoin levé, tu en as besoin baissé. Tu ne nous entendras pas nous plaindre parce que tu l'as laissé descendu.
Et n'oublie pas que nous aussi nous avons à le descendre parfois, et nous y arrivons sans effort ni frustration.

2. Dimanche = sports. C'est comme la pleine lune ou les marées. Fais avec.

3. FAIRE les magasins n'est PAS un sport. Et non, nous ne verrons jamais ça de cette façon.

4. Pleurer est du chantage.

5. Demande ce que tu veux. Soyons clairs à ce sujet :
- Les indices subtils ne fonctionnent pas !
-Les indices évidents ne fonctionnent pas !
Dis-le clairement!

6. Oui et Non sont des réponses parfaitement acceptables à presque n'importe quelle question.

7. Viens à nous avec un problème seulement si tu veux de l'aide pour le résoudre. C'est ce que nous faisons. La sympathie est la raison d'être de tes amies.

8. Un mal de tête qui dure 17 mois est un problème. Vois un médecin.

9. Tout ce qu'on peut avoir dit, il y a 6 mois est inadmissible dans une argumentation. En fait, tout commentaire de notre part devient nul après 7 jour.

10. Si tu ne t'habilles pas comme les filles de Victoria's Secret, ne t'attends pas à ce qu'on agisse comme les gars des romans-photos.

11. Si tu penses que t'es grosse, c'est probablement que tu l'es. Ne nous le demande pas.

12. Si quelque chose qu'on a dit peut être interprété de deux façons, et qu'une de ces interprétations te rend triste ou en colère, c'est l'autre qu'on voulait dire.

13. Tu peux soit nous demander de faire quelque chose ou nous dire comment tu voudrais qu'on le fasse. Pas les deux. Si tu connais déjà la meilleure façon de le faire, fais-le toi-même.

14. En tout temps, s'il-te-plaît dis tout ce que tu as à dire pendant les pauses publicitaires.

15. Christophe Colomb n'a pas eu besoin de se faire aider pour trouver son chemin et ce sera pareil pour nous.

16. TOUS les hommes voient seulement 16 couleurs, comme les paramètres par défaut de Windows. Pêche, par exemple, est un fruit, pas une couleur. Citrouille est aussi un fruit. Nous n'avons aucune idée de ce qu'est mauve.

17. Si ça pique, c'est pour qu'on le gratte. C'est ce que nous faisons.

18. Si nous te demandons ce qui ne va pas et que tu réponds “rien”, nous agirons comme s'il n'y avait pas de problème. Nous savons que tu mens, mais ça ne vaut pas le coût de s'acharner.

19. Si tu poses une question à laquelle tu ne veux pas de réponse, attends-toi à une réponse que tu ne veux pas entendre.

20. Quand on va quelque part, absolument tout ce que tu portes est correct. Vraiment.

21. Ne nous demande pas à quoi on pense à moins que tu sois prête à discuter de sujets comme le football, le hockey ou les voitures.

22. Tu as suffisamment de vêtements.

23. Tu as trop de chaussures.

24. Je suis en forme. Rond est une forme.
MIEUX VAUT BAISER UN RATE QUE RATER UN BAISE

Je pourrais bien être président de l'association des alcooliques anonymes, ça changerait rien : de temps en temps (voir même souvent), j'aurais quand même envie de boire des coups avec des potes et de discuter sans fin de sujets essentiels (le cul de la serveuse, les seins de la blonde assise derrière nous, …),. D’ailleurs je raconte des conneries je pourrais pas être président de l’association des alcooliques anonymes vue que tout le monde est déjà au courant que j’ai tendance à lever le coude et que le montant de ma consommation d’alcool suffirai presque à éponger la dette du tiers monde
Je me fous d'avoir une vie sans amoureuse, sans être vraiment seul malgré tout.
J'ai l'impression de creuser à longueur de temps, je viens de passer presque trois mois en exil au goulag au fin fond de la France profonde à me retourner le cerveau pour savoir ce qui cloche dans ma vie, c'est sans fin, c'est inutile, malgré ce que j'apprends, je n'ai pas davantage d'idée sur ce que je cherche exactement. Mes envies sont contradictoires...
Bordel j'attends que la solution me tombe dessus sans bouger une oreille ; on dirais un lapin le jour de l’ouverture de la chasse ; je déteste ce genre de situation.
Ça ne sert à rien, les autres passe leurs vies à afficher et à vivre leurs sentiments et moi j'effraie les gens par la facilité que j’ai à afficher un manque total de sensiblerie et à me calfeutrer dans un cynisme de première classe.
En ce moment je suis en vacances ; c’est peut-être la pire des périodes (si on compte pas celle des fêtes de fin d’année, mais celle la elle est hors concours.) ; rien à faire à part gamberger et tourner en rond comme un hamster en cage (je sais la phrase c’est comme un lion en cage, mais bon niveau carrure je suis plutôt du genre mulot des champs. Et puis merde c’est moi qui écris alors…), alors je tourne en rond dans les méandres de ma petite tête et je dors pas .
Je suis en vacances, censé me reposer pour attaquer le boulot en pleine forme et je ne dors de nouveau plus, alors pour passer le temps je squatte le canapé et la connection ADSL de Poupounette en regardant passer les heures.
J’ai souvenir d’un précèdent post ou je disais vive le célibat, vantant les mérites de cet état en me félicitant de l’être ; c’est dingue ce que je peut écrire comme conneries.

19 novembre 2006



Marre d'être président à vie de ce club à la con

05 novembre 2006

MACHIN DANS LES CHAMPS HIVER MECHANT....

Juste pour dire que dans quinze jour je reviens sur paris.
L exil ca a ete tendu.
et le peu de week end sur paris trop dur pour un gars de mon age.
si vous etes sages je raconterais en rentrant.
MESSAGE PERSO
FRAN MEL ALLEZ VFM YDCQMMJPP

SECOND MESSAGE PERSO
PEGGY LA PROCHAINE FOIS TU TE DEMERDES TU ME PREVIENS MOI QUE JE GERE